GRASLourdes

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ACTIVITES 2020


Du 19 au 24 octobre 2020: Séjour ARSPAN 2020

Du 19 au 24 octobre 2020: Séjour ARSPAN 2020

2020 10 24 Du 19 au 24 octobre 2020 Séjour ARSPAN 2020 .jpg


19/10/2020: Aven de Noël, galerie intermédiaire

Inspection de la galerie et initiation dans les puits
CASSOU Jean Pierre (cadre)
FLAHAUT Pierre
FLAHAUT Gabriel
SOUVERVILLE Michel (cadre)
Surveillance des procédures de passage de fractionnements, le cadre circulant sur un téléphérique couvrant plusieurs fractionnements et déviations successifs.
20/10/2020: Initiation dans un aven sur le plateau de BidonInitiation dans le P40
CASSOU Jean Pierre (cadre)
FLAHAUT Pierre
FLAHAUT Gabriel
Cadre unique = Utilisation d'une corde d'assurance pour la couverture de la descente de la travée de 38 mètres.
Initiation dans l'entrée principale (canyon):
SOUVERVILLE Michel (cadre)
RANNINGER Eloïse
21/10/2020: Aven de Noël
CASSOU Jean Pierre
SOUVERVILLE Michel
Visite d'inspection du réseau classique
Fin de la topographie 3D de la Galerie Blanche + cheminement retour. Tous les cheminements de la partie classique debl'Aven de Noël (P90, Galerie Intermédiaire, Galerie Principale, Galerie Supérieure et Galerie de la Grande Coulée) sont
maintenant doublés.
23/10/2020: Grottes de Saint-Marcel, réseau IV
CASSOU Jean Pierre
SOUVERVILLE Michel
Visite en classique depuis l'entrée naturelle Saint-Marcel 1.1 jusqu'à la salle du Pont d'Arc

26/10/2020
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17/10/2020: SE-08

17/10/2020: SE-08
CASSOU Dominique
DOYEN Véronique

Histoire de profiter un peu du beau temps, Dom Océan Zizou et moi sommes allés au se 08 histoire de voir si le trou ne s'est pas ouvert par miracle et de rêver un peu à la poursuite des travaux. Rien n'a bougé si ce n'est que le fond est lavé et bien propre.
Quel plaisir de retourner dans ce coin ...le fou.. le 08 .Ha si on avait plus de bras !
Belle balade , le coin est sympa .
Véro


19/10/2020
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10/10/2020: Grottes de Villars

10/10/2020: Grottes de Villars
CASSOU Jean Pierre
GALLOU Jean Claude
GILLARD Adrien
VERDET Cécile

2020 10 10 10102020 Grottes de Villars .jpg

 
Topographie de la partie aménagée
JPC à la topo
Jean-Claude aux photos
Développement topo � longueur du parcours aménagé): 420 m

13/10/2020
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19/09/2020 et 20/09/2020: Rassemblement Régionnal Nouvelle Aquitaine (Alienor)

19/09/2020 et 20/09/2020: Rassemblement Régional Nouvelle Aquitaine (Alienor)
CASSOU Dominique

2020 09 20 19092020 et 20092020 Rassemblement Régional Nouvelle Aquitaine (Alienor).jpg


Grotte des Jonquilles
Arrivé la veille au soir avant la tombée de la nuit, j"en ai profité pour repérer l'entrée de la cavité.
A peine le jour levé, je rentre dans la grotte, je descend un P7 étroit suivit d'un P35 et j'arrive vite dans une grande galerie. Je choisi d'aller vers l'amont,  C'est une belle galerie fossiles érodée, concrétionnée ... Je franchi quelques gours, ..... J'arrive à la rivière, et je renonce à aller plus loin. Avant de ressortir, j'irai faire un tour dans la galerie fossile aval

Gouffre de Murel
Je pénètre dans la cavité, par la descente d'un P7 à l'aide d'une échelle, la progression est facile, certains passages sont équipés d'échelles ou de main-courantes. On peut y voir de belles formes de galerie et enfin une originalité, un tunnel SNCF à partagé la grotte en deux. Je traverse la voie ferrée et visite l'autre partie. A mon retour, j'entends un sifflement  suivi d'un grand bruit, c'est un train qui vient de passer. Quelques minutes plus-tard, un autre que je verrai passer.

La Croze à Roland
Cette visite se fera en traversée. Durant la descente des puits , Je rencontre un groupe de 5 personnes qui me laissera passer devant. J"accède à une belle et grande galerie. Elle est peu concrétionnée, un peu de gypse ici et là. Je m'arrête quelques instant devant un très joli ensemble concrétionné.
je repars, la galerie se retrécie, le commence à me demander, si je n'ai pas raté le passage de sortie ! Je poursuis et trouve 5 bacs tuyaux, de suite je pense à un chantier de désob , j'avance à quatre pattes dans l'eau. Persuadé que j'ai sûrement raté la sortie, je renonce à aller plus loin et retourne sur mes pas, en vérifiant bien tous les passages quitte à ressortir par là ou je suis entré. Je retrouve l'autre groupe qui me confirme que j'étais sur le bon chemin et qu'il fallait bien passer le boyau dans l'eau. La suite est une succession de très jolis méandres, pour finir par quelques puits et sortir

Après ces trois visites, je me rends à la base de loisir de Lissac-sur-Couzen lieu du rassemblement pour faire quelques achats, y rencontrer quelques connaissances. Ensuite c'est les traditionnels apéro et repas de gala

Grotte de Fontilles

Le lendemain matin, afin d'éliminer quelques toxine de la veille, je me lève tôt pour faire une grotte facile.
je descends le puits d'entrée sur l'échelle spéléo mise en place. Un petit ramping de quelques mètres dans un boyau étroit, une petite descente sur un plan incliné équipé d'échelons et me voilà dans une grande galerie.
Quelques coulées de calcites ornent la proie et au bout de quelques mètres, les parois sont recouvertes d'aragonites, de gypse... L'émerveillement commence ici, et durera sur prés d'un km de galerie aux concrétions variées: stalagtites, stalagmites. draperies, baguettes de gours.... La progression est aisée avec quelques passages en opposition

il me faut 4h de route pour revenir chez moi.  Ce sera donc ma dernière visite du week-end. Je m'arrête à la rivière ou je laverai mon matos et vers midi je quitte la Corrèze .

Photographies

 

Compre_Rendu de CASSOU Jean-Pierre Couze

CASSOU Jean-Pierre
GALLOU Jean Claude

18/09/2020: Gouffre de La Fage (grottes visitables)
Visite de la cavité en mode 'visite libre'
Exercice de topographie destiné à démontrer la faisabilité d'un levé topo sommaire durant le temps imparti d'un cycle de visite.
En 1h10, 407 m ont été levés, y compris visées radiantes, mais pas de croquis. (en clair, le JPC a encore trouvé le moyen de faire de la topo ...)
19/09/2020: Visite du site touristique de Rocamadour, superbe site plus ou moins altéré par les bondieuseries et autres appels aux dons 2.0

19/09/2020: Présentation de la topographie en carrières:
- GHTopo et GHCaveDraw
- Recherche du plus court chemin entre deux points
- GHTopo sur Raspberry Pi
- DistoX et terminal M3

23/09/2020
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12/09/2020: Grotte de la Soif

12/09/2020: Grotte de la Soif

BOF Michel

CASSOU Dominique

JOLY Frédéric

2020 09 12 12092020 Grotte de la Soif .jpg

Je retrouve Fred et Miguel pour une petite journée désob. Depuis ma dernière visite, beaucoup de terre à été sortie du boyau inférieur.
Mal grès un boyau rempli d'argile avec un plancher stalagmitique de 15cm d'épaisseur, de l'air en sort et de visu un élargissement semblerait être derrière.
On est motivé, Miguel creuse l'argile, casse la calcite. On évacue les déblais et vers midi le passage s'ouvre enfin !
On peut se mettre debout ! 4m plus haut il y a une petite fissure d'où sort un peu d'air mais le travail de désob serait fastidieux.
Nous terminerons la journée par du travail de désobstruction qui s'avère très difficile, dans ce boyau supérieur, qui est une véritable turbine.
Lors de cette sortie, on aura put observer un bébé loir, découvert par Fred


23/09/2020
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29/08/2020: Xendako Ziloa (Pierre-Saint-Martin)

29/08/2020: Xendako Ziloa (Pierre-Saint-Martin)
CASSOU Dominique
DOUAT Michel
DOYEN Véronique


1-Nouveau dossier (17)13.jpg

Allez, go go go pour Xendako ....combien de copains ont creusé ce trou? ont abandonné puis ont
recommencé à y croire. Certains ce sont acharnés... grand bien leur à pris, ça a finit pas payer .
Un coucou à Papou qui aurait bien aimer être des nôtres et le mot est faible ...

C'est en arrivant par Ligolette sous le brouillard qui finit par se dissiper que commence la journée: un temps de PSM !

L'entrée du puits est sèche, comme le reste du trou. Arrivés en bas du puits des 7.0 (p60), nous continuons jusqu'au bout du méandre molmilcheux (-270m) et le déséquipons au retour jusqu’à revenir au niveau du "Garde meubles" ou nous stockons 3 kits cordes et amarrages. De là commence l'exploration du "Garde meubles". Juste avant la fin du P60, en faisant un petit balancier. il y a une ouverture avec un P4 qui semble bien avancer vers la "salle" du garde meubles, je continue, ça remonte dans un éboulis que l'on peut remonter en opposition entre les 2 parois (tant que c'est sec) et je me retrouve au milieu du "Garde meubles" à faire coucou à Dom et Mickey
qui sont restés dans le p60 pour avoir un meilleur visuel. Bingo les copains arrivent.
Visu dans la salle sur un premier puits méandre ou il faut faire un bon nettoyage pour descendre, ce sera pour la prochaine fois.
On continue dans la salle en évoluant de blocs en blocs jusqu’à une remontée en éboulis.
Mickey me rejoint en premier et c'est le grand vide de l'autre côté ....Va falloir des cordes, Dom fait demi tour et ramène les kits de cordes/amarrages. (ils les aura trimbalé dans tous les sens ces kits! et ce n'est pas de la tarte ! juste après le Margua, il est en forme Pimousse ! )
Nous entamons la descente: 2 options: plein vide direct ou se décaler et traverser le puits pour rejoindre en face ce qui semble être un amont de toute beauté. Je descend un peu plus bas dans une "gouttière" en bord de puits et me rend compte de la friabilité de la déco en dentelles qui cassent comme des gaufrettes; j'équipe en me décalant c'est pas top du tout, ça touche mais c'est sur du sain et on arrive à traverser le puits , l'autre versant semble plus fiable.
Je remonte vers l'amont et là c'est l'émerveillement, un magnifique gâteau à la broche en calcite complète le tableau de cette superbe remontée; Je stop au sommet et attend les copains. qu'on fasse la suite ensemble et qu'on partage ce moment: un trou noir au fond du couloir... Dom fait chauffer l'appareil photo, Allez Mickey à toi la suite . Mickey descend, inspecte tous les recoins mais ça se ferme dans du remplissage et plus aucun courant d'air, mais un très beau plancher stalagmitique dans la partie du haut et perchée, en face, une galerie xxl qui continue, ce sera à voir aussi. Anoter aussi la présence de roches rouges !
Nous revenons tous au bas de "l'amont" et je poursuis l’équipement du puits en me frayant un passage entre les lames et dentelles de calcite à coup de marteau: Un beau puits dont je distingue le fond, mais lors de ma descente, à mi puits un becquet dangereux pour la survie de la corde et donc la mienne me condamne a remonter, Dom fait déviation humaine. Je n'ai plus d'amarrages! Fin de l'explo on laisse la main au suivants. Dans ce dernier puits, j'aperçois le sol qui semble donner dans un méandre; Ou ira-t-il? le mystère reste entier.
La remontée a la surface est galère pour moi: prise par l’effervescence
de l'explo j'ai oublié de boire et de manger et rien dans le ventre depuis la chocolatine de ce matin. Je récupère mon kit "nourriture" 100 m plus haut et me rue sur une orange et une tranche de pain avant de poursuivre la remontée ...

Sortie de rêve ! dehors, pluie type neige fondue, vent, brouillard s'ajoutent à la nuit ...Hors sentier Mickey nous ramène pile poil au cayolar et au 4x4 ...la grande classe.
Partager de tels moments avec Dom et Mickey...wouaw, ça le fait ! trop fière la moufette.
Véro

Photos de Dom


 Ci-dessous, le compte-rendu de Mickey

Puisque c'était trop bon on vous fait un deuxième CR avec la topo en plus :
Après la brillante éxpé de la dream team d’Amalgame vendredi au Z 127, Véro, Dom Ksou et Mickey espèrent faire aussi bien à Xendako Ziloa samedi. Rendez vous tôt le matin au Braca sous la pluie et direction Ligolette sans attendre. 3 petits kits avec perfo, topo, eau et bouffe. Il y a suffisamment de matos là où nous attend la suite : le Garde Meubles à -220, cet énorme chaos de blocs qui borde la base du P56.
Mais ça commence plutôt mal avec l’ancien qui a oublié son casque au Braca. Près d’une heure perdue pour aller le récupérer mais peu après 10 heures tout le monde est dans le trou. Après, ça avance bien dans ces longs méandres coupés d’une multitude de petits puits et d’un P23 et un P56 sur la fin. Les cordes commencent à glisser sérieusement dans les descendeurs et on sait qu’au retour les crolls vont patiner.
Deux heures plus tard on peut contempler le chantier qui nous attend depuis le dernier fractio du P56 : le puits a trépané la paroi d’une vaste salle ébouleuse. Les blocs sont énormes, plus de 10 x 10, entassés les uns sur les autres. Il ne sera pas difficile d’atteindre l’éboulis, mais après il faudra trouver des passages et la suite. Il faudra surtout trouver un accès vers une grande lucarne qu’on aperçoit à 30 m du palier. Mais avant il faut aller déséquiper le réseau Est exploré pendant le camp d’août.
Ça prend du temps, mais on dispose alors de 3 kits de cordes et d’un peu de quincaillerie. Véro atteint les premiers blocs par une traversée facile à quelques mètres du fond du P56 : lucarne entre blocs, P6 et on se retrouve sous le chaos. Un passage rejoint le début du réseau Est, mais en s’enfonçant sous les blocs puis en remontant entre les blocs on parvient de l’autre côté de la salle 15 mètres sous la lucarne. Là, sous les blocs un puits de 10 m semble être le départ d’un méandre, mais le sommet est trop instable pour y descendre sans aménagements. Alors, va pour la lucarne. De loin l’accès paraissait délicat. En fait c’est une rampe, certes croulante, mais qui se passe sans problème. La lucarne, 6 m sur 10, domine un gros vide estimé à 40 m, mais au-delà on distingue une salle concrétionnée. Et si c’était ce niveau qu’on attend vers 1300 m d’altitude comme au Chipi tout proche. Rapide calcul : on y est presque, alors c’est parti pour la salle.
Une descente de 12 m et un petit pendule nous déposent dans une vaste galerie remontante encombrée des mêmes blocs brun-rouge irréguliers comme en bas du Juini dans le Maria Dolores, mais ici ils sont plus gros et plus nombreux. Ce n’est pas du calcaire, ni du calcschiste, ni du flysch. Les plus bruns semblent ferrugineux. D’autres, rosés à grain fin font penser à des grès, voire … à des roches volcaniques. Question : d’où viennent-ils ? D’inclusions dans le calcaire lui-même ? De la surface. Si c’est de la surface il aura fallu un sacré courant pour les amener jusque-là d’autant qu’il n’y a pas de puits au-dessus. La réponse est peut être en partie dans Arsip n°17, page 26 : « le chevauchement de Sainte Engrâce, un complexe structural majeur dans les Pyrénées Occidentales ».
En haut de la galerie une nouvelle lucarne conduit dans une salle plus modeste elle aussi percée d’un puits qui donne dans un méandre étroit sans courant d’air. A revoir plus tard si… ? La salle comporte un remplissage extraordinaire de 5 m de hauteur constitué de planchers successifs et de couches de petits galets, de sable et d’argile. On a du mal à quitter les lieux tellement ce remplissage est fascinant. Un dernier coup d’œil à une nouvelle lucarne perchée à 10 m de haut à l’autre bout de la salle et direction le gros vide de la salle précédente. L’équipement est compliqué. Le calcaire est feuilleté et le puits encombré de lames. Véro et Dom parviennent à 20 m du fond et aperçoivent un départ de méandre, mais il n’y a plus d’amarrages et trop de ménage à faire. C’est quand même une belle explo avec du gros, des suites à voir et peut être une belle avancée vers le Maria Dolores.
Le retour en surface est long. Chacun son rythme avec des pauses pour des contacts à la voix. On se regroupe à la traversée du P80. Assoiffés. L’absence d’eau dans ce trou est un problème et celle qu’on amène ne suffit jamais. Reste maintenant la partie étroite jusqu’à la sortie.
Finalement, ces étroitures ébouleuses et pentues passent mieux que d’habitude. Au dernier coude avant la sortie, on n’aperçoit pas le jour. Normal, il est déjà 22 heures. Dehors, c’est pluie, vent et brouillard. On se regroupe rapidement et on ne traîne pas. Les sentiers des brebis nous guident un moment mais après il faut monter, repérer les barres rocheuses, s’enfiler dans un petit talweg, continuer à monter, suivre une autre sente, monter encore, trouver un sentier plus marqué jusqu’à un ancien enclos de pierres … tout ça avec une visibilité de 4 ou 5 m, la pluie qui cingle le visage et surtout ne pas larguer ceux qui sont derrière. Mais au-dessus de l’enclos le cayolar est là avec le Vitara garé à côté. 10 minutes plus tard on est sur la piste cahoteuse dans le véhicule embué, direction le chalet du Braca. Trempés, un peu cuits, mais heureux.
Le lendemain le carnet topo est sorti d’un sac qui ressemble davantage à un tas de boue qui commence à sécher, mais les résultats sont là : le terminus de ce nouveau réseau est à l’aplomb du Maria Dolores, mais encore 150 m au-dessus. Pas du puits Juini mais d’autres puits remontants situés dans le niveau supérieur qu’on n’avait pas été voir en janvier 2019.

Mickey


31/08/2020
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10/08/2020: Prospection du coté de Tibiran-Jaunac

10/08/2020: Prospection du coté de Tibiran-Jaunac
CORONADO Alfonsa
CORONADO Jean-François

Départ depuis le parking de la grotte de Tibiran et découverte d’un trou souffleur à désobstruer en contre bas du chemin (200m environ) .
Coordonnés 43,058 – 0,541. Air très frais sortant du nouveau trou découvert. Peut-être une ancienne résurgence …

A revoir !


18/07/2021
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01/08/2020: Hauts de Langoiran

01/08/2020: Hauts de Langoiran
CASSOU Jean Pierre

Reconnaissance d'une carrière à partir d'un puits.
Descente du puits à la corde (P10) puis arrêt sur bourrage ventilé, à poursuivre

23/08/2020
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04/07/2020: Vallon d'Ardengost

04/07/2020: Vallon d'Ardengost
CASSOU Dominique
DOYEN Véronique

On retourne sur Frechet-Aure, afin d'ouvrir, la grotte déjà repérée il y a quelques semaines. Nous avons deux options, soit passer par le bas, en creusant au sol ou en passant  à mi-hauteur, en cassant les restes d'un plancher stalagmitique. Nous choisissons la seconde option. A l'aide de massette, de burin et de pied de biche, on tente de casser le plancher qui partage le passage en deux. Si au début cela se casse bien, la suite est plus laborieuse et nous oblige à essayer de passer par le passage du bas. On creuse au sol, on enlève, de la terre, quelques cailloux, finalement, Véro réussie à se faufiler et à passer. Quelques concrétions d'air ornent les parois, mais malheureusement cela s'arrête très vite.
Notre premier objectif réalisé, nous aménagerons l'accès de "Caussihour 2"
Avant de revenir à la voiture on passera devant divers cavités qu'il fraudra retopographier


25/05/2021
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27/06/2020: Gouffre du Quéou

27/06/2020: Gouffre du Quéou
CASSOU Dominique
DOYEN Véronique

2020 06 27 27062020 Gouffre du Quéou .jpg


Après avoir visité le gouffre du Pyrhon, j'ai envie de visiter le gouffre du Quéou dont j'ai beaucoup entendu parler. Après la période de confinement que nous venons de traverser, et mon camp au Marguareis qui approche, ce (-458m) sera une bonne sortie d'entrainement. Aprèe renseignements pris le gouddre est toujours équpé par le GSHP.

6h, nous sommes au parking du monastère Peyras (alt:500m). Le jour vient à peine de se lever, le ciel est couvert, normal on est à Saint-Pé ! Nos sacs sont prêts. Nous pouvons attaquer la longue marche vers le "Quéou". Nous prenons le sentier du refuge de l'Aoulhet. On monte à traverse bois, le ciel se découvre peu à peu. On sort du bois, et un joli panorama sur le "Prés du Roy" s'offre à nous. On passe devant le refuge de l'Aoulhet (alt:1160). Encore une montée et un dernier effort et vers 9h, nous sommes devant l'entrée remarquable du "Quéou" (alt:1270m). On se change, on prépare nos kits, cordes.....
9h30, nous rentrons dans le gouffre. A moins d'une 1/2h, nous sommes en bas du Puits de 60m (fractionné), le "Puits de Coeur". La suite  est un long méandre entrecoupé d'étroitures et de ressauts. Quelques concrétionnement agrémentent la visite Plus loin, on arrive aux grands volumes: la salle du Mammouth, la galerie du triple A. puis nous arrivons au Labyrinthe du Four à chaux, avant de trouver la vaste salle très concrétionnée du Scroutch où peu à peu les parois se couvrent de choux-fleur. On franchit une diaclase et nous voilà à la Salle Madeleine. Une dernière verticale et nous sommes à la Salle à manger. On cherche un peu et l'on trouve la galerie supérieure qui nous évite de suivre la rivière par le laminoir. Le passage trouvé, on suit les traces de passages et le sens du courant pour arriver au siphon terminal (-458m) à15h20
Retour à la Salle Madeleine où nous ferons une pause casse-croûte avant d'attaquer la remonté, vers 16h30. Mal grès quelques moments de doute, le retour s'effectue sans problème. C'est à 21h que nous sortirons du gouffre.
le retour au parking du monastère durera 2h sera long et pénible. Un petit repas chaud avant d'aller se coucher vers minuit.

Diaporama: Photos de Véro et Dom


02/07/2020
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